Tous les jours, dans les journaux, à la télévision, à la radio, sur des affiches publicitaires ou simplement dans une conversation, nous sommes conviés à acheter quelque chose, à nous procurer tel produit, à recourir à tel et tel service, à faire preuve d’originalité — et, dans le même mouvement, à suivre la mode —, à profiter d’occasions, de spéciaux, de rabais, de nouveautés, de soldes. Nous sommes invités à consommer. Or, justement, nous consommons trop et nous consommons mal.» La question qui oriente la réflexion est ici celle de la part du consommateur dans l’acte de consommation.